Pitblad de Novembre 2015

Edito

TRACES…


Une armoire du studio renferme, bien rangés comme à la parade, une suite de classeurs. Leur contenu a son importance car ce n’est rien d’autre qu’une part de notre histoire.
Les bulletins y sont conservés, depuis les premiers numéros qui, au début de Pacem in Terris, tenaient en en une
feuille ou deux jaunies par le temps et «stencilées» avec les moyens du bord.
Et cela, sans interruption de la série, jusqu’à l’exemplaire que vous tenez aujourd’hui entre les mains.
Presque une histoire de l’évolution de l’impression en un demi siècle.
Ouvrons l’un de ces classeurs et feuilletons au hasard.
Très vite une impression se dégage. En effet, dès les premiers balbutiements de cette communauté naissante, il saute aux yeux que le souci des rédacteurs se portait sur une orientation première: coller au plus près à ce qui se passe dans la (ou les) tente(s) et ensuite dans le bâtiment dont le bulletin ne manquera pas de suivre les étapes de la construction. Ainsi, au fil des années consultées, l’incessante poursuite de cet objectif permet de se faire une certaine idée en 50 ans, ou presque, de la vie d’un groupe.
Certes, dans ce parcours, tout ne fut pas linéaire ; on y trouvait dans les échos rapportés parfois un peu de tout, sans que cependant la ligne de conduite générale ne s’écarte de la priorité donnée au vécu.
La nouvelle équipe de rédaction, en suivant cette voie, n’invente donc rien, mise à part l’adhésion à l’esprit défendu par le projet «Pitagora» dont nous avons déjà souligné l’importance.
Evidemment cette «ligne rédactionnelle» ne cherche guère la facilité et a ses exigences dès lors qu’elle cherche à donner mensuellement une photographie la plus fidèle possible des événements vécus ou à vivre intra muros.
Et cela dans ses deux aspects «cultuels» et «culturels», ces termes devant être compris dans leur sens le plus large. Exigence aussi car cette même ligne ne peut se concevoir sans l’intervention du plus grand nombre.
Ou, pour faire bref, que tout soit «fait maison».
A ce propos, l’archiviste des temps futurs qui se plongerait dans l’étude scientifique de ces classeurs ne manquera pas de relever qu’apparaît de façon récurrente un appel à des articles rédigés par les lecteurs.
Rien n’a décidément changé au cours de ces années car, aujourd’hui encore, les plumes demeurent paresseuses.
Le problème va même s’aggraver sous peu ; Patricia terminera en décembre le compte-rendu, commencé dans
le numéro de septembre 2014, d’un voyage en Inde sur la trace de nos pionniers.
Et, conjointement, Victor mettra fin à la série des «Cela s’est passé près de chez vous» qui débuta en janvier 2013.
Qu’ils soient remerciés pour ces intéressantes rubriques dont l’absence créera un vide qu’il faudra combler si l’on veut que le bulletin tienne le cap.
La poursuite de cet objectif sera rendu plus aisé, nous l’espérons du moins, grâce au «Code de bonne pratique à l’usage des collaborateurs du bulletin» que vous lirez en page 7.
Nous l’avons mis sur le métier il y plus d’un an et, en interne, il a fait l’objet de plusieurs ajustements.
Mais, je ne vous apprends rien, un code souffre du même défaut que les produits informatiques : au moment où ils apparaissent ils sont déjà dépassés…
Il évoluera donc sans doute encore.
Ainsi, le «Pitblad» continuera à remplir au mieux le rôle qu’il s’est fixé depuis ses premières pages, celui d’être un outil fidèle au service de Pacem in Terris.

Claude Eugène

Sommaire
  • Horaire des messes
  • Responsables Pastoraux  
  • Un dimanche pas comme les autres
  • Annoncer, célébrer et servir
  • Fête de la Foi 
  • Code de bonne pratique
  • Cela s’est passé près de chez nous 
  • Inde (suite) 
  • Concert Yasa Bonga 
  • Râlons... mais aussi Alléluia
  • Soirée littéraire 
  • Pit Bulles
  • Nouveautés en Bibliothèque 
  • Livre épinglé
  • Théâtre des Enfants du Pit 
  • Activités des aînés 
  • Soirée Brassicole 
  • Zumba pour seniors 
  • Ligue d’Impro Beauvalienne 
  • Calendrier Novembre 2015