Pitblad de Juillet-Août 2014

Edito

Confidences...

Le bulletin que vous tenez en mains n’est pas né d’hier; son histoire remonte aux origines mêmes de Pacem in Terris. Depuis le début, ses rédacteurs ont veillé à ce qu’il reflète la vie et donc les changements survenus dans l’évolution de ce groupe qu’on qualifia de «communauté», terme qui, il faut le souligner, n’a rien de religieux.
Aussi y ajoutèrent-ils souvent le qualificatif de «chrétienne». En septembre prochain il y aura déjà un an qu’est parue la nouvelle présentation du bulletin née du projet PITAGORA.
Un coup d’œil dans le rétroviseur nous révèle que ce projet commença à dessiner les contours d’un changement dans le paysage. Pour faire bref, il y eut tout le chemin parcouru qui déboucha sur ce terme pas si barbare que cela en fait. L’évolution de la société et de notre environnement devait impérativement donner une nouvelle impulsion à l’esprit de Pacem in Terris pour pérenniser l’avenir.
Et pour cela, en s’aidant des moyens techniques actuels, permettre à quiconque de trouver chez nous ce qu’il cherche, un lieu de culte pour certains, mais pour tous un lieu de rencontres, un lieu d’accueil, de dialogue et d’écoute dans le respect de nos valeurs premières.
A l’annonce du déménagement de Christian Delvaux qui s’était engagé à porter le bulletin jusqu’à son numéro de juillet 2013, une cellule «communication» fut constituée.
Elle dessina les bases d’une présentation nouvelle du bulletin qui devait fixer le cadre du projet Pitagora.
Et d’emblée il fut entendu qu’elle serait supportée par un graphisme invitant à la lecture et donc, à cet égard,qu’il serait fait appel aux compétences locales. Il faut souligner que les personnes sollicitées pour tenter l’aventure répondirent toutes par l’affirmative.
Et l’on trouva Bernard François à la conception, Annie Wisemberg à la réalisation, Marc Wattel à la mise en ligne et Jocelyne Toth comme secrétaire à la chasse aux articles et à la relance de leurs auteurs.
L’armature technique de l’équipe bulletin était ainsi constituée. Elle se compléta de Nathalie Borremans qui représente l’équipe pastorale locale, Gilbert Amerlynck l’éditeur responsable et l’auteur de ces lignes pour le conseil d’administration de l’asbl. Mais très vite l’accident de Bernard vint hypothéquer le devenir de la belle construction.
Heureusement durant la longue immobilisation du blessé, Annie put compter sur l’aide de Laurent Parisel qui étudiait précisément le logiciel choisi par Bernard et sur celle d’Eric Deschrijvere qui l’avait utilisé à titre professionnel.
C’est ainsi que, bravant tous les obstacles, sortait, comme promis, dans les temps,début septembre, le bulletin dans sa nouvelle tenue. Sachant qu’il faut toujours remettre sur le métier, il faut dire et redire que la belle robe ne suffit pas; encore faut-il que le contenu soit à l’avenant. Tous les lecteurs doivent se considérer comme étant parties prenantes.
Il faut dire et redire qu’il n’est pas la chasse gardée de quelques-uns pas plus que l’un ou l’autre ne détient le monopole de certaines rubriques. Sa diversité attendue et souhaitée dépend de vos plumes multiples qui tardent parfois à sortir de leur étui. Ces collaborations justifieront alors en outre pleinement l’étiquette de «communauté vivante» que d’aucuns nous attribuent volontiers.
Profitez donc du soleil d’été (ou de ses jours de pluie c’est selon…) pour, à votre tour, tenter l’expérience.
Et vous découvrirez une autre façon de vous mettre au service de tous.

Claude Eugène

Sommaire

Horaire des messes
Responsables Pastoraux 
Dix ans d’Unité Pastorale
KTnews : les persévérantes
Célébrations en UP 
La femme d’Urie, rusée ou victime ? 
Pour être de bons copains 
Que Ton Nom soit sanctifié 
Cela s’est passé près de chez nous 
Pitagora
Beauval à Chevetogne 
Râlons... mais aussi Alleluia
La Coupe du Monde 
PitBulles
Nouveautés en bibliothèque
Livre épinglé
Rafraîchissement
«Avoir» du temps ou «faire» du temps ?
Y a des jours comme ça
Concert des Etincelles 2014

Galeries