Le bulletin en question ?
L’assemblée PITAGORA qui s’est tenue le 25 septembre dernier avait inscrit à son ordre du jour deux sujets,
le 50ème anniversaire de la fondation de Pacem in Terris qui sera fêté le 22 septembre 2018 et un état des lieux du bulletin auquel cet éditorial est consacré.
Avec l’aide de Sophie Van Stratum, qui arrivait au terme de ses deux mandats à la tête de l’Unité Scoute et, par ailleurs, spécialiste en communication, l’équipe bulletin avait estimé qu’une analyse objective devenait nécessaire après 4 ans de ce «Pitblad» new look.
Une réflexion devenant d’autant plus nécessaire en raison de la décision prise par les rédacteurs de «Parcours Croisés», le journal du Christ Roi et de SSPP réunis, d’en venir à une parution bimensuelle dès septembre (et annoncé en page 7 de notre numéro de ce même mois)).
Elle pourrait devenir dommageable pour le nôtre compte tenu de la place prise par la rubrique de l’Equipe Pastorale. Parmi les trois options possibles, suppression, fusion ou maintien, l’assemblée se prononça massivement pour que tout reste en état et en donna ainsi, de facto, mandat à l’équipe.
Le bulletin qui a suivi vient de fournir la preuve péremptoire par ses 20 pages que Pacem in Terris, sans déroger à la ligne suivie depuis quatre ans, possède les ressources suffisantes pour ne pas se contenter d’une publication condamnée au régime minceur. MAIS… car il y a un «mais» conjoint à cette considération optimiste.
Pour réussir il devient indispensable que des nouvelles plumes se manifestent (de préférence, spontanément…) et viennent, occasionnellement ou non, se lancer dans l’aventure et faire écho à ce qui se vit ici.
Car chacun d’entre nous s’intéresse à ce qui s’y passe, aux projets, aux collaborations individuelles ou collectives.
Bref, à tout ce qui donne témoignage de ce qui fait notre spécificité, celle que nous aimons qualifier de «esprit PIT». Relisez à ce propos la relation du camp Pi’s qu’Emilie nous a livrée dans le précédent numéro.
N’avez-vous pas ressenti un réel plaisir à sa lecture et monter en vous comme un regain d’enthousiasme?
Nous ne demandons pas de faire œuvre littéraire mais tout bonnement d’apporter une sorte de fierté au lecteur qui fermera le journal en se disant:» … et tout cela chez nous en un mois…».
L’occasion se présente désormais: saisissons-la!
Il suffit de se lancer sans craindre de céder à la panique devant la feuille blanche.
Tout en veillant cependant à envoyer les textes à temps.
Vous éviterez à l’équipe de devoir se livrer à des prodiges pour la mise en pages car l’impression se fait par quatre pages à la fois. Et en respectant, le garde-fou qu’est notre «Code de Bonne Pratique» rappelé plus loin, en page 21.
Claude Eugène
Soumis par Marc WATTEL le 1 novembre 2017